Parkings sous pression : cette approche adaptée par projet et objectif
Il est des lieux qui ne se ressemblent pas… En effet, quand on parle de parkings sous pression, on en retrouve plusieurs : sous-terrain en résidence habitée, dans un bâtiment neuf en construction, un parking sous-terrain sous un supermarché…
Quel que soit le format, peu importe le projet, il y a toujours la même vigilance à y apporter.
Quelles hauteurs pour y faire rentrer un groupe UHP ou un fourgon ou une benne de traitement ?
Quels accès pour faire passer flexibles et gaines de ventilation ? Gymkhana entre les étais ?
Que ce soit de Bordeaux à La Rochelle. De Colomiers à Pontoise. De Toulon à Quimper, vous pouvez retrouver des parkings différents, mais de grandes ressemblances d’univers de travail.
Parkings sous pression : découvrir les différentes approches
Parfois leur structure a brûlé. Parfois leur structure a vieilli.
D’autres fois leur construction a été trop généreuse ou présente des défauts de fabrication… Quelle qu’en soit la raison, THP intervient au robot ou à la lance, pour gratter le surplus de « cramé » ou détourer les aciers.
Focus sur les 2 derniers en date… La Rochelle
En mars et avril dernier, le parking du domaine de la Vallière à La Rochelle. Ce dernier était complexe du fait de son exiguïté et de sa hauteur sous plafond de 1,80 m. Peu de ventilation, peu de lumière, un béton non hétérogène, un environnement propice à se mettre la pression.
Des résidents sur place, un parking extérieur toujours utilisé, peu d’espace pour la zone d’installation…
Mais avec passion, l’équipe s’est attelée à retirer au robot les 7 cm de béton de la structure détériorée et réaliser un décapage surfacique des box à la lance. Cette intervention se couple d’un traitement des eaux en continu, avec quelques déboires, mais très vite canalisés.
… et Bordeaux
Du côté du quartier Belcier à Bordeaux, au sein de la construction d’un nouvel immeuble « Brienne », THP a également dégainé son robot tout neuf le 750… Victime d’une erreur de pilotage, il s’est vu piqué la place en moins de 2 h par le fidèle R4 déjà bien rôdé et qui a fait un boulot de “pro”.
Grâce à cette valeur sûre, les voiles des sous-sols des niveaux -1 et -2 ont été démolis dans les temps et selon les cotes attendues : 5 cm de béton hydrodémoli sur 1,05 m de hauteur, sur 60 ml au 1er sous-sol et sur 50 ml au 2ᵉ sous-sol.
La lance manuelle a été utilisée pour assurer les finitions des angles des murs, inaccessibles au robot.