Auteur/autrice : FCM Graphic

Une usine moderne, unique en France : Terralys SUEZ

Le site Terralys, filiale du groupe Suez Environnement, se distingue par son expertise dans la transformation et la valorisation des boues. Implantée sur une surface de 7 hectares, l’usine multifilière « Terres d’Aquitaine » est un modèle d’innovation dans le traitement des déchets organiques. 

Parmi les déchets traités figurent : 

• Les graisses alimentaires issues des secteurs de la restauration et des industries girondines. 
• Les boues liquides et pâteuses. 
• Les déchets verts. 
• Les sables de curage collectés dans tout le département. 

Ces déchets sont soumis à des procédés de déshydratation et de centrifugation, avant d’être compostés sur place.

Avec une capacité de traitement atteignant 65 000 m³ de déchets , l’usine produit également 7 000 tonnes de compost par an, utilisé comme engrais organique. En complément, une partie des déchets est valorisée en combustible pour la production de chaleur.

Une altération des bétons dans les zones de stockage des matières solides

Face à l’altération des bétons dans les zones de stockage des matières solides, des travaux de grande envergure ont été entrepris dès l’été 2017. Ces interventions visaient à réparer et renforcer les structures en béton des box d’entreposage gravement fissurées. 

Les étapes clés du projet : 

1. Hydrodémolition sur une épaisseur de 6 cm des voiles en béton :
   • Surface traitée : 2800 m² de parements verticaux. 
   • Utilisation d’un robot Aquacutter 710 V équipé d’un kit extension de 4 m pour un traitement efficace de chaque voile en une seule phase.  
2. Traitement du radier en béton : 
   • Surface traitée : 3000 m². 
   • Utilisation de deux robots d’hydrodémolition couplés à des groupes de 700 CV délivrant 2200 bars pour un débit de 120 l/min. 

Au total, ce sont 460 m³ de béton traités par les équipes d’hydrodémolition qui ont nécessité une intervention de 12 semaines. Ce délai maîtrisé a permis une remise en exploitation rapide et sécurisée du site SUEZ Terralys. 

Au cœur de Paris la Défense, la tour Adria démarre une nouvelle vie sous un nouveau nom, la tour Hopen. Ce nouveau projet nécessite une rénovation et restructuration conplète.
Pourtant, encore jeune (elle ne date que de 2002), elle a souffert de matériaux désuets et d’une conception « basique ». L’idée n’est pas de la détruire, mais de la restructurer pour offrir un nouveau lieu de partage et d’épanouissement.

Rénovation et restructuration de la tour Adria à Paris

La rénovation de la tour Hopen passe par son rehaussement de trois étages et une ouverture de ce gratte-ciel vers l’extérieur. Ce travail se fait notamment à l’aide de fenêtres et de terrasses. Garder la façade d’origine pour des raisons climatiques, et l’adapter aux enjeux de demain en cassant cet effet aquarium à l’air climatisé et à la lumière artificielle favorisée (nature, soleil et air…)

Tels sont les objectifs de cette opération de relooking menée par l’agence Ateliers 2/3/4.
 L’espace à la base de la tour laisse place à un café où tous les passants pourront s’arrêter.

L’entrée du gratte-ciel est également modifiée, avec un accès spectaculaire en forme de triangle. Pour ce faire, on rogne une partie de la tour en découpant le béton… à l’eau !

Forte pression pour une transformation canon

THP est intervenue pour créer des ouvertures dans les voiles à différents étages de la tour. Le but : pouvoir renforcer la structure afin de poser une verrière. Cette opération a nécessité la combinaison des techniques d’hydrodémolition robotisées et manuelles.

Avant de pouvoir s’attaquer aux 7 m de haut sur 70 à 80 cm de profondeur et plus de 2 m de large, le robot a dû d’abord subir un démontage. L’idée était de pouvoir prendre l’ascenseur extérieur et être réassemblée à ses différents étages (5 étages) d’intervention.

Le chantier d’hydrodémolition a été géré en y alliant le traitement des eaux. Autre enjeu de taille : il aura fallu poser des plaques métalliques afin d’éviter toutes projections vers le parvis de la Défense et assurer un maximum d’insonorisation. Le bruit au cœur de la Défense aurait pu déchaîner les pressions !

Mais il n’en fut rien. Selon un phasage très serré entre septembre et janvier 2023, les équipes auront sorti 60 m³ de béton.

*Aussi le titre d’un film de 2009 avec Georges Clooney… What else, la passion !

Il est des lieux qui ne se ressemblent pas… En effet, quand on parle de parkings sous pression, on en retrouve plusieurs : sous-terrain en résidence habitée, dans un bâtiment neuf en construction, un parking sous-terrain sous un supermarché…

Quel que soit le format, peu importe le projet, il y a toujours la même vigilance à y apporter.

Quelles hauteurs pour y faire rentrer un groupe UHP ou un fourgon ou une benne de traitement ?
 Quels accès pour faire passer flexibles et gaines de ventilation ? Gymkhana entre les étais ?

Que ce soit de Bordeaux à La Rochelle. De Colomiers à Pontoise. De Toulon à Quimper, vous pouvez retrouver des parkings différents, mais de grandes ressemblances d’univers de travail.

Parkings sous pression : découvrir les différentes approches

Parfois leur structure a brûlé. Parfois leur structure a vieilli.

D’autres fois leur construction a été trop généreuse ou présente des défauts de fabrication… Quelle qu’en soit la raison, THP intervient au robot ou à la lance, pour gratter le surplus de « cramé » ou détourer les aciers.

Focus sur les 2 derniers en date… La Rochelle

En mars et avril dernier, le parking du domaine de la Vallière à La Rochelle. Ce dernier était complexe du fait de son exiguïté et de sa hauteur sous plafond de 1,80 m. Peu de ventilation, peu de lumière, un béton non hétérogène, un environnement propice à se mettre la pression.

Des résidents sur place, un parking extérieur toujours utilisé, peu d’espace pour la zone d’installation… 

Mais avec passion, l’équipe s’est attelée à retirer au robot les 7 cm de béton de la structure détériorée et réaliser un décapage surfacique des box à la lance. Cette intervention se couple d’un traitement des eaux en continu, avec quelques déboires, mais très vite canalisés.

… et Bordeaux

Du côté du quartier Belcier à Bordeaux, au sein de la construction d’un nouvel immeuble « Brienne », THP a également dégainé son robot tout neuf le 750… Victime d’une erreur de pilotage, il s’est vu piqué la place en moins de 2 h par le fidèle R4 déjà bien rôdé et qui a fait un boulot de “pro”.

Grâce à cette valeur sûre, les voiles des sous-sols des niveaux -1 et -2 ont été démolis dans les temps et selon les cotes attendues : 5 cm de béton hydrodémoli sur 1,05 m de hauteur, sur 60 ml au 1^er sous-sol et sur 50 ml au 2ᵉ sous-sol.

La lance manuelle a été utilisée pour assurer les finitions des angles des murs, inaccessibles au robot.

Les équipes THP interviennent dans le monde entier. Ce chantier hydrodémolition le prouve. Direction la Jamaïque pour assurer ce projet d’extension.

Un chantier hydrodémolition hors-norme en Jamaïque pour VCGP

Le projet d’extension du port de Kingston est un contrat en EPC. Les travaux se font par VINCI Construction Grands Projets et EMCC (VINCI Construction). En groupement avec l’entreprise de dragage belge Jan de Nul. CMA CGM, acteur majeur du transport maritime mondial et concessionnaire du port de Kingston depuis le 1ᵉʳ juillet 2016, choisit ce groupement.

Le projet porte sur la réhabilitation, le renforcement et la mise aux normes sismiques de 1 200 mètres de quais. Ainsi que sur les travaux de dragage du chenal d’accès et du port de Kingston.

Un hub maritime au plein cœur des Caraïbes

Après l’élargissement du Canal du Panama reliant l’océan Atlantique au Pacifique, le projet permettra au port de Kingston d’accueillir les porte-conteneurs parmi les plus grands au monde, positionnés par CMA CGM.

Ce projet d’extension du port de Kingston représente un enjeu majeur pour le déploiement du commerce maritime de la région. En effet, celui-ci a une position idéale en sortie du Canal du Panama, à la croisée des lignes de navigation Nord/Sud et Est/Ouest.

Il deviendra ainsi l’un des trois principaux terminaux à conteneurs des Caraïbes. CMA CGM, nouveau concessionnaire, entend faire du port de Kingston un hub de la région caribéenne.

Une solution technique fiable et sur mesure pour les travaux hydrodémolition

Dans le cadre de ce projet d’ampleur – 130 millions $USD – d’importants travaux de génie-civil sont à mener.

THP intervient sur ce projet qui va durer 1 an ½ pour les travaux hydrodémolition des longrines en BA support des rails de roulement des grues portuaires.

Mais également un ensemble de prestations connexes, qui vont de la préparation de surface pour des reprises de bétonnage jusqu’à la création de réservation pour la mise en place de nouveaux bollards.

Le viaduc Saint-Jacques relie le quartier Saint-Jacques au centre-ville de Clermont-Ferrand. Sur une longueur de 430 m et hauteur de 27 m, il s’emprunte en tramway, voiture et à pied. Des fragilités liées aux chlorures ayant été détectées dans la structure, des travaux de renforcement et de consolidation ont débuté à l’été 2023. Datant de 1967, la métropole veille sur cet ouvrage d’art et assure sa pérennité.

THP intervient afin d’hydrodémolir piles et chevêtres pour concourir à leur renforcement, via des coques BFUP. Les premiers essais de convenance ont eu lieu en août dernier. Le cahier des charges se fixe de concert avec Bouygues TP RF dans le but de valider méthodes et techniques à utiliser.

Les travaux de renforcement et hydrodémolition : une organisation au millimètre

Un travail minutieux et de patience

Le chantier d’hydrodémolition commence en novembre et se poursuit selon une planification et un zonage, très spécifiques.

Les équipes, tour à tour 1 ou 2 selon les configurations, doivent souvent désinstaller et ré-installer au vu des travaux conjoints des différents corps de métier. Le pianotage se base sur une exigence de 1,5 m à 2 m de haut. Cela évite toute fragilisation compte tenu que le viaduc est toujours partiellement ouvert à la circulation.

L’hydrodémolition se fait depuis des échafaudages enveloppés de bâches acoustiques. Ils disposent tout de même de ventilation avec renforcement.

Une benne de traitement des eaux permet la gestion des eaux souillées avec une décantation et un relevé lamellaire quotidiens.

Une communication spécifique à l’attention des riverains concernant les travaux de renforcement

Le chantier jouxtant les habitations, l’Université de droit, les commerces… outre la présence de bâches acoustiques, une communication a été faite à l’égard des riverains.

Des panneaux d’information et de sensibilisation apportent un éclairage sur les raisons de l’hydrodémolition, des réponses sur les nuisances sonores ou bien encore sur l’inoffensivité du brouillard d’eau.

Données

• mise en œuvre BFUP
• profondeur 7 Cm
• traitement des eaux PH – MES

La réhabilitation d’un digesteur peut être nécessaire en fonction de sa date de construction et de son utilisation. L’équipe THP a dû intervenir sur le projet à Varennes-Jarcy.

Réhabilitation d’un digesteur : une rupture du voile intermédiaire du digesteur construit en 2002

Ce digesteur de forme cylindrique possède une paroi médiane de 12 m de large et 22 m de hauteur. Cette paroi en béton, oblige les matières en fermentation, qui sont introduites par un orifice situé à la base du digesteur, à effectuer un cheminement circulaire pour la contourner.

Un second orifice se situe à la base, mais de l’autre côté de la paroi par rapport à l’orifice d’introduction. Il permet l’extraction des matières fermentées.

La paroi de ce digesteur a subi un sinistre important en 2004 : une rupture avec le radier et un déplacement de 70 à 80 cm sur la moitié de sa longueur. Il s’agit de la conséquence d’un différentiel de pressions hydrostatiques trop important entre les deux faces du voile.

 Un voile en béton armé à déconstruire

Afin de remettre le digesteur K230 en service, un marché de réhabilitation a été lancé en 2016 attribué à l’entreprise Parisienne HPBTP. Leur solution technique s’appuyait sur une solution d’hydrodémolition complète pour la déconstruction technique de ce voile qui reposait en équilibre sur le radier.

THP participe dès la phase de consultation des entreprises à l’élaboration d’une solution technique permettant la démolition.

Un phasage et une approche de démolition complexes pour assurer la réhabilitation d’un digesteur

Lors des opérations d’évacuation des boues, le voile montre d’importants traumatismes laissant apparaître un cintrage en « s » du voile et d’importantes fissures traversantes.

Les réunions techniques et la modélisation 3D du voile permettent de déterminer la démolition de la paroi du bas vers le haut. Les aciers du voile étant repris dans les poutres structurelles de la couverture du digesteur, l’idée était de suspendre le voile durant sa phase démolition. Un pari gagnant qui a permis la démolition des 165 m³ de béton en moins de 6 semaines de travaux.

QUELQUES DONNÉES

• 165 m3 d’Hydrodémolition
• 1 robot Aquacutter 710 V
• 1 kit extension 4 m
• 1 groupe UHP de 700 CV
• 6 semaines de travaux
• 2 groupes UHP de 120 kW
• 2500 bar 24l/min
• 192 m3 d’Hydrodémolition
• 5 430 m² d’Hydrodécapage

Plus vieux de France et toujours précieux, le tunnel de Rolleboise est le passage quasi obligé de tous ceux qui circulent en train entre Paris et la Normandie. Datant de 1843, sa restauration était nécessaire. Ces travaux de restauration se font sur une période de 10 mois jusqu’en novembre 2024.

En 2014, une première phase permet de moderniser 350 m du tunnel de Rolleboise situé entre Rosny et Bonnières. Là, c’est un colossal chantier SNCF entre Rouen et Paris sur 500 m (des 2613 que compte l’ouvrage) supplémentaires.

Travaux de restauration : un chantier en trois phases

Les travaux du tunnel de Rolleboise se font en 3 étapes.  Dans un premier temps, THP assure le décapage et nettoyage des briques du tunnel avec de l’eau à haute pression.  Ensuite, une armature est posée le long de la paroi pour servir de squelette à la future coque béton. Enfin, du béton armé est projeté à 350km/h sur la voûte et sur les murs pour construire une seconde peau et ainsi pérenniser le tunnel.

Une planification et organisation adaptées

SNCF Réseau procède à des interruptions de trafic la nuit afin d’éviter les perturbations des voyageurs. Ainsi qu’à des ralentissements et des coupures de lignes certains week-ends.

Aussi, les équipes de THP ont donc officié sur des créneaux très courts de minuit à 4 h du matin, pour une surface décapée / nettoyée de plus de 4 500 m², en 5 semaines.

Trois trains, spécialement conçus pour effectuer des travaux de tunnels, étaient assemblés chaque nuit, du sur-mesure pour les besoins du chantier. Cuve à eau et groupe UHP ont été positionnés en mode container sur l’un des trains travaux.

THP réalise un outil de contrepoids pour y faire également tenir le robot d’hydrodécapage.

Face aux nécessités de décaper des piédroits jusqu’en voûte du tunnel, le robot utilisé possède un bras articulé à 360° et se dépliant jusqu’à 6 m. Nos experts fabriquent une tête rotative sur mesure pour décaper finement les différents parements hétérogènes : alternance de brique, meulière, roche et/ou béton projeté.

La sécurité sur ces travaux de restauration

Cette intervention doit respecter des règles strictes : port de masques, ventilation, éclairages…
 Et par mesure de sécurité, la vitesse des trains était limitée à 40km/h dans la zone du chantier.

Données

• Âge du tunnel : 181 ans
• Surface : 4 500 m2
• Long. du tunnel : 2,6 km
• Durée : 5 Sem.
• Budget réseau SNCF : 25 M€

THP répond aux exigences de Qualification SNCF

THP a obtenu la qualification SNCF qui repose sur des attentes spécifiques en matière de système de management de la qualité et sécurité. Cette évaluation permet de vérifier les attendus des prestations réalisées. À tout moment, le groupe SNCF peut réaliser des contrôles, des audits afin de vérifier le savoir-faire, les compétences en action.

Dans des travaux de construction, notamment de la construction d’une tour, plusieurs acteurs doivent intervenir. Cela a été le cas pour ce projet de la Tour Saint Gobain où THP intervient.

 Construction de la Tour : des experts THP et de l’hydrodémolition pour assurer le succès du projet

L’immeuble de 165 mètres de haut, situé à la Défense, abritera le nouveau siège social du groupe.

Cette nouvelle tour, translucide et entièrement en verre, avec 44 étages et 49 000 m² de surface de plancher, est construite en lieu et place de l’ancien immeuble Iris, démoli l’an dernier.

THP est intervenu pour le compte du groupement constructeur VINCI.

L’idée est d’hydrodémolir les rives d’un tablier d’ouvrage d’accès à la tour.

Une protection acoustique permet de mener à bien ce chantier en plein milieu des « Tours » et de ces 24 m³ de béton à démolir.

Au cœur de Paris la Défense, la tour Adria démarre une nouvelle vie sous un nouveau nom, la tour Hopen. Pourtant, encore jeune (elle ne date que de 2002), elle a souffert de matériaux désuets et d’une conception « basique ».

L’idée n’est pas de la détruire, mais de la restructurer pour offrir un nouveau lieu de partage et d’épanouissement.

Travaux sur la tour Hopen : restructuration plutôt que démolition

La rénovation de la tour Hopen passe par son rehaussement de trois étages et une ouverture de ce gratte-ciel vers l’extérieur, notamment à l’aide de fenêtres, de terrasses.

Garder la façade d’origine pour des raisons climatiques, et l’adapter aux enjeux de demain en cassant cet effet aquarium à l’air climatisé et à la lumière artificielle, favoriser, nature, soleil et air… Tels sont les objectifs de cette opération de relooking menée par l’agence Ateliers 2/3/4.

L’espace à la base de la tour laisse place à un café où tous les passants pourront s’arrêter. L’entrée du gratte-ciel est également modifiée, avec un accès spectaculaire en forme de triangle. Pour ce faire, on rogne une partie de la tour en découpant le béton… à l’eau !

Forte pression pour une transformation canon

THP est intervenue pour créer des ouvertures dans les voiles à différents étages de la tour. Le but : pouvoir renforcer la structure afin de poser une verrière. Cette opération a nécessité la combinaison des techniques d’hydrodémolition robotisées et manuelles. Avant de pouvoir s’attaquer aux 7 m de haut sur 70 à 80 cm de profondeur et plus de 2 m de large, le robot a dû d’abord subir un démontage pour prendre l’ascenseur extérieur. Puis être ré-assemblé à ses différents étages (5 étages) d’intervention.

Le chantier d’hydrodémolition a été géré en y alliant le traitement des eaux. Autre enjeu de taille : il aura fallu poser des plaques métalliques afin d’éviter toutes projections vers le parvis de la Défense et assurer un maximum d’insonorisation. Le bruit au cœur de la Défense aurait pu déchaîner les pressions ! Mais il n’en fut rien. Selon un phasage très serré entre
 septembre et janvier 2023, les équipes auront sorti 60 m³ de béton.

Performances

• Démolition béton : 60 m3
• hauteur de travail : 7 m
• durée chantier : 6 moi